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SAINTE-THERESE DE LISIEUX

 

Soleilune vous souhaite la bienvenue,

 

Dans la campagne normande, c’est à Alençon que Thérèse nait en 1873 dans une famille bourgeoise très catholique.

 

 

Son père Louis est horloger, sa mère Zélie une dentellière disparait, foudroyée d’un cancer du sein alors que Thérèse n’avait que 4 ans et demi. Elle sera fragilisée par la mort de sa maman.

 

Maison X en Cancer, qui trouve son Maître de Maison dans le signe des Poissons en Maison VI (sa vie quotidienne). En effet, sa maman lui manquant tant, elle nourrit tout cet amour auprès de la Vierge Marie auprès de laquelle elle trouve réconfort et amour, c’est sa Maman spirituelle.

 

Elle écrit : 

« La sainte Vierge ne manque jamais de me protéger aussitôt que je l’invoque ».

 

En 1877, son père décide d’emménager à Lisieux avec ses 5 filles dont Thérèse y vivra 11 années.

 

Thérèse est de signe solaire Capricorne (besoin de construire) avec un ascendant Balance (besoin de se tourner vers les autres).

 

 

 

 

Son Soleil se situe dans la Maison IV, c’est à dire la Maison des racines, des parents, la demeure. Le signe du Capricorne occupe cette Maison. Ce signe est miroir de manque, de restriction, de solitude, de coupure. Inutile de dire à quel point sa maman lui manque, mais qu’en même temps, son papa (Saturne en domicile) est bien présent et responsable de ses enfants (Saturne trigone à Pluton) avec le souhait d’éduquer ses enfants dans les règles de l’art. Il apporte à ses enfants beaucoup d’amour.

 

Rapidement une relation étroite s’établit entre Louis et sa petite Thérèse la dernière, les prénoms qu’ils se donnent sont « la petite Reine et son Roi chéri ».

Chaque soir, Louis initie ses filles à la Foi catholique. Thérèse est assidue et elle admire Pauline son ainée qui souhaite entrer en religion.

Elle tombera petit à petit malade entrant dans une forme de dépression. Elle souffre de convulsions, d’hallucinations et doit rester couchée dans sa chambre. Il lui arrive même de ne plus reconnaitre sa soeur.

 

Le 13 mai 1883, elle est au paroxysme de ses crises. Ses sœurs sont en pleurs, et vont s’agenouiller devant la statue de la Vierge Marie qui se trouve sur une commode dans sa chambre.

 

Elles se mettent à prier la Vierge Marie et la supplient de venir au secours de leur petite soeur. Et Thérèse se tourne aussi et là, d’un coup, elle annonce que la Vierge parle d’elle.

 

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les gens auraient pu penser qu’il s’agissait d’une nouvelle hallucination, seulement, Thérèse se transforme immédiatement, elle est guérie instantanément. La médecine ne l’expliquera pas. Plus tard, elle écrira à 10 ans, que ce jour-là, elle a compris qu’elle devait consacrer sa vie à Dieu.

 

La Sainte Vierge m’a fait sentir que c’était vraiment elle qui m’avait souri et m’avait guérie. J’ai compris qu’elle veillait sur moi, que j’étais son enfant, aussi je ne pouvais plus lui donner que le nom de « Maman » car il me semblait encore plus tendre que celui de Mère… Avec quelle ferveur ne l’ai-je pas priée de me garder toujours et de réaliser bientôt mon rêve en me cachant à l’ombre de son manteau virginal !… Ah ! C’était là un de mes premiers désirs d’enfant… En grandissant j’avais compris que c’était au carmel qu’il me serait possible de trouver véritablement le manteau de la Sainte Vierge et c’était vers cette montagne fertile que tendaient tous mes désirs. »

 

En 1885, Thérèse demande à son père pour entrer au Carmel, seulement il fallait 15 ans et Thérèse n’en avait que 14. Elle eu une discussion avec son papa à cet endroit du jardin.

 

Elle convint alors son père de l’emmener à Rome pour demander au Pape la permission d’être Carmélite qui fût refusée. Ce fût une épreuve pour Thérèse qui voulait tout et tout de suite.

 

Cette Lame qu’elle porte dans son thème tarologique est une notion à transformer. En effet, le Bateleur a soif de tout, il aime découvrir, commencer de nouvelles choses… Son défi est la patience. Patience dont Thérèse doit s’armer, apprendre à ne pas disperser son énergie. Un côté juvénile à transformer…

 

Un exemple. Elle a 4/5 jours de retraite, normalement elle est sensée être seule avec Dieu, et bien pas du tout, elle reçoit des lettres de sa sœur, de sa prieure, elle écrit des lettres… il y a en elle et autour d’elle de la distraction… En même temps, elle est si jeune, on ressent qu’elle a du mal à franchir le pas… Elle aura la difficulté à s’exprimer avec sa maîtresse des novices, là elle essaye d’exprimer son intérieur, sa souffrance, son Fiancé n’est pas là… En effet, le manque de présence du Christ dans la vie de Thérèse (et dans la vie monastique) se vit sous un mode d’absence. Il est présent dans son absence, c’est là tout le paradoxe… Ce n’était pas simple pour Thérèse car elle ressentait le Christ dans son cœur, mais bon nombre de fois, elle sentait sa Présence dans la Foi où elle la vivait dans l’Espérance et la charité mais où elle se faisait cruellement ressentir comme absence… et ça Thérèse devait le traverser…

Et Thérèse le vit en concentré car elle ne vit pas longtemps, de ce fait, elle passe un peu par toutes les étapes où parfois le sentiment ne se sent plus (un peu comme les époux, les couples), et l’amour devient un choix exigeant : j’aime parce que j’ai choisi d’aimer.

D’ailleurs, elle dit :

Lui, Il est libre de m’aimer à Sa manière, et moi je L’aime, je choisis d’être fidèle à cet amour parce que le seul fait qu’il me regarde et me considère me comble et me fait exister.

 

A ce moment-là, celui qu’elle aime, c’est le crucifié. Et comme c’est le crucifié, elle veut par son union avec lui épouser la souffrance à sa manière puisque c’est le crucifié qui est son fiancé. Elle, elle ne va pas aimer la souffrance pour la souffrance ; juste en s’unissant au crucifié, elle va recevoir de lui la vie.

 

Je vous invite à regarder une très belle vidéo sur ce sujet :

https://www.youtube.com/watch?v=r87l1Pe8N4I

 

Mercure l’invite à poser un regard nouveau sur son mode de communication. Ne pas être dans l’agitation mentale, prendre le temps de poser les choses. Et de ce fait, développer de grandes idées, adopter une nouvelle philosophie de vie. Une grande mission de vie spirituelle l’attend.

Son chemin de vie est le 22. Il s’agit d’un nombre Maître symbolisant l’intelligence supérieure, celle qui l’ouvre à un intérêt universel, projet de vie de grande envergure, il est question d’être une messagère pour l’humanité.

 

Tout ce qui habite son mental, c’est le Monde, c’est transmettre, apporter ses connaissances. Elle écrit des poésies, des pièces de théâtre, des prières et surtout en 1895, elle rédige le début de son autobiographie, le Manuscrit, qu’elle compose sous le regard de la statue de la Vierge Marie.

 

« Je voudrais être missionnaire non seulement pendant quelques années, mais je voudrais l’avoir été depuis la création du monde et l’être jusqu’à la consommation des siècles… »

 

En 1888, elle entre enfin au Carmel de Lisieux.

Les journées sont difficiles pour cette jeune fille. Les levés sont fixés à 6h30 et les journées sont rythmées par les messes et prières et en fin d’après-midi c’est la récréation dans la cour, avant de regagner sa cellule.

 

La cellule de Thérèse fait 6m2, les conditions de vie sont spartiates : une paillasse, une table, du papier et un stylo.

La Vierge occupe la Maison XII.

Elle préfère de loin le peu, le manque à la matière, la richesse… Elle se contente de peu car elle sait profondément que seul l’amour elle le trouve dans son coeur. C’est pour elle, une forme de purification.

 

Thérèse était un grand auteur. Elle compose tout ce qu’elle va dire. A partir de 1895, le soir avant de s’endormir, elle écrit ses souvenirs, mais aussi une 15 aine de poèmes : le doute, la résilience, l’amour.

 

  (Mercure dans le signe du Sagittaire en MIII = ses écrits)(Nœud Nord en Gémeaux en MIX = direction qu’elle doit empreinter) Mercure forme un trigone à Neptune (planète de l’intuition) ; dire à quel point elle était reliée à sa Source. L’intuition coulait, et elle avait besoin de l’écrire à grande échelle. Son Nœud Nord indique que ses écrits faisaient partie de sa mission d’incarnation et qu’elle devait les transmettre avec une éternelle jeunesse.

 

Sa Mission de vie est le chiffre 22, il s’agit d’une mission spirituelle.

Cela prouve son besoin de transmettre par ses écrits, ses vécus spirituels. Une mission qui l’invite à transmettre, informer le Monde.

 

Natacha Saint Pierre a d’ailleurs repris un des poèmes de Thérèse pour une chanson

 

https://www.google.fr/search?q=natacha+saint+pierre+chanson+de+th%C3%A9r%C3%A8se+de+lisieux&sxsrf=AJOqlzVJl8Ofd08JXEDToSZwDeinIn4eDQ%3A1677251429185&source=hp&ei=ZdP4Y9CeCfXAkdUPht2csAI&iflsig=AK50M_UAAAAAY_jhdQ_npNeLvztU-y78EtZMW1CVvcf0&oq=nata&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAEYADIECCMQJzIICC4QgAQQsQMyCwguEIAEELEDEIMBMggIABCxAxCDATIICC4QgAQQsQMyCAguEIAEELEDMggILhCABBCxAzILCC4QgAQQsQMQgwEyCwguEIAEELEDEIMBMggIABCxAxCDAToRCC4QgAQQsQMQgwEQxwEQ0QM6CwguEIAEEMcBEK8BOg4ILhDHARCxAxDRAxCABDoOCC4QgAQQsQMQxwEQ0QM6CAgAEIAEELEDOhEILhCDARCvARDHARCxAxCABDoICC4QgwEQsQM6BQguEIAEOgsILhCABBDHARDRAzoOCC4QgAQQsQMQgwEQ1AI6CwgAEIAEELEDEIMBOhEILhCDARDHARCxAxDRAxCABDoFCAAQgARQAFj8A2CKFmgAcAB4AIABQogB9QGSAQE0mAEAoAEB&sclient=gws-wiz#fpstate=ive&vld=cid:483888e1,vid:48AIsFZmG68

 

En 1896, dans la nuit du Vendredi Saint, Thérèse tombe malade d’une tuberculose et s’efforce de terminer au crayon de bois l’écriture de son journal.

Son thème dessine des ailes de papillon.

 

Cette configuration met en évidence une Messagère reliée au Ciel qui a des sentiments à exprimer au monde ici bas.

Le Papillon est créateur, inspiré, il voit les choses en grand et souhaite apporte un message d’Espérance. Ce Papillon souhaite mener Sainte Thérèse au dépassement d’elle-même.

 

Une couronne ?

 

 

Ce qui m’a frappé en regardant le thème de Sainte Thérèse, c’est ce dessin. On y voit comme une couronne. Normalement formée en Astrologie, une couronne est reliée par un aspect à sa base dit « carré » en rouge, aspect de défi. Ici, cette pseudo couronne est reliée juste par un sextile (aspect en vert), comme si ce sextile lui permettrait avec facilité de porter sa mission (en effet, elle était si jeune !).

Avons-nous fait le tour de tous les aspects en Astrologie ? Avons-nous encore des choses à découvrir ? Et bien, je l’espère 😉

Et si cette couronne était reliée par un sextile (aspect harmonique) ? La Couronne est synonyme de dons, de capacités, d’élévation sur le plan matériel mais davantage sur le plan spirituel.

Je ressens que cette configuration lui a donné des ailes tel un papillon en plein vol qui lui permet malgré son si jeune âge de « toucher » la Grâce de Dieu et de nous toucher …

 

Les derniers mots de ses écrits seront des mots simples :

Je m’avance vers Dieu par la Confiance et l’Amour.

 

Sainte Thérèse meurt le 30 septembre 1897 à l’âge de 24 ans et ses derniers mots dans la Foi seront :

Mon Dieu, je vous aime !

 

Un an plus tard, ses carnets seront publiés sous le titre « HISTOIRE D’UNE ÂME ».

 

Qu’est-ce que : l’histoire d’une Âme ?

C’est un livre et en même temps, la partie centrale du livre c’est-à-dire les trois grands manuscrits qu’ils ont réuni ensemble ; poésies, prières, correspondances et ses guérisons « la pluie de roses ».

 

Signes interceptés Sagittaire – Gémeaux

Ces axes impliquent toujours des prises de conscience à effectuer au cours de la vie.

Sagittaire/Gémeaux l’invitent à concilier ses idéaux et sa vie de tous les jours. Cet axe comporte une notion d’apprentissage au cours de sa courte vie et de mise en pratique de ses grandes idées.

Au début du 20ème siècle, la popularité de Thérèse est grandissante. Pendant la 1ère guerre mondiale on fait appel à elle durant les prières, et de plus en plus de guérisons ont lieu à Lisieux et toujours actuellement.

 

Sœur Thérèse de l’enfant Jésus sera canonisée en 1925 et devient Sainte Thérèse de Lisieux et en 1927 une basilique de 5000 places sera érigée en sa mémoire.

 

 

 

 

 

 

 

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